Comment définir un bon logiciel en Centre de santé ? Ce dernier doit à nos yeux posséder une partie « métier » complète et facile d’usage pour les praticiens et un interface transparent pour accéder à la partie facturation qui doit pouvoir se faire avec toutes les modalités possibles d’envois : sécurisée, dégradée et Iris/B2.

L’absence de la CPS ne doit pas être synonyme de facturation papier. Le traitement des rejets doit rester intuitif et facile. Le recyclage des factures est également important, en DRE notamment.

Son paramétrage doit être clair avec la possibilité d’intégrer les tables de conventionnement mutuelle en plus de la TOD. 

La vision des impayés doit être quasiment instantanée et toutes les extractions possibles doivent être proposées sur tous les menus.

Les « gadgets » tels que ADRi et IDB sont les bienvenus. Les avertissements en cas de facture erronée seront à prendre en compte.

Le plus important est que la chargée d’accueil se sente suffisamment à l’aise dans les menus pour se concentrer sur son vrai métier : l’accueil du patient.

Alain De Greef

Co-fondateur SAPS – Directeur technique

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